Pièce verticale, de section ronde ou carrée, que l’on trouve sur le quai d’un port et que l’on utilise pour amarrer les bateaux. • Je suis encore restée quelque temps à regarder les ondulations du canal Saint-George, la ligne granitique des quais, la tension des cordages, la rigidité des bittes – un des premiers mots français dont Monsieur Presle m’ait appris le sens à cause de ses origines scandinaves : « biti, poutre transversale de navire ». — (Raymond Queneau, Journal intime, 1950, dans Les Œuvres complètes de Sally Mara, Gallimard, « L’Imaginaire », 1989, p. 17) - Assise sur une bitte - D’amarrage, elle pleure - Son homme qui la quitte, - La mer c’est son malheur. — (Renaud, « Dès que le vent soufflera », 1983) La bitte d’amarrage est alors enfoncée dans le béton frais de manière à laisser environ 300 mm de tube exposé. — (J. A. Sciortino,Construction et entretien des petits ports de pêche et débarcadères de village, FAO, 1996, p. 72 [archive]) Source Wikipédia